"Ces ateliers deviennent des lieux vivants, des expériences de micro-société." Stéphanie JANAINA et Paulina RUIZ CABALLIDO. Entretien avec Tristan MÉRIEUX

Le nouveau numéro de Dialogue – GFEN (n°198), « Éduquer… Pour quels

communs ? Pour quelle société ? », publie un entretien consacré au projet chorégraphique et sonore Tresses Passées, mené en 2024-2025 avec des collégiens de Vitry-sur-Seine.

Aux côtés de Stéphanie Janaina et Paulina Ruiz Carballido, l’article met en lumière la manière dont danse, langues et récits nourrissent une réflexion sur les identités et le vivre-ensemble, faisant de l’art un véritable lieu de justice, d’écoute et de transformation. Les ateliers y apparaissent comme de véritables micro-sociétés vivantes, où se créent des langages partagés sans effacer les singularités.

Soutenu par la DRAC Île-de-France, en collaboration avec le Palais de la Porte Dorée, le Collège Gustave Monod et le Collectif V.I.D.D.A, le projet réaffirme l’importance d’une éducation artistique et inclusive, capable de relier mémoires, cultures familiales et pratiques créatives.

Nous remercions Tristan Merieux pour l’espace d’entretien et pour son travail d’édition.

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El nuevo número de Dialogue – GFEN (n.º 198), « Educar… ¿Para qué comunes? ¿Para qué sociedad? », publica una entrevista dedicada al proyecto coreográfico y sonoro Tresses Passées, llevado a cabo en 2024-2025 con estudiantes de secundaria de Vitry-sur-Seine.

Junto a Stéphanie Janaina y Paulina Ruiz Carballido, el artículo muestra cómo la danza, las lenguas y los relatos alimentan una reflexión sobre las identidades y la convivencia, haciendo del arte un verdadero lugar de justicia, escucha y transformación. Los talleres aparecen como micro-sociedades vivas donde se crean lenguajes compartidos sin borrar las singularidades.

Apoyado por la DRAC Île-de-France, en colaboración con el Palais de la Porte Dorée, el Collège Gustave Monod y el Colectivo V.I.D.D.A, el proyecto reafirma la importancia de una educación artística e inclusiva, capaz de conectar memorias, culturas familiares y prácticas creativas.

Agradecemos a Tristan Merieux por el espacio de entrevista y por su trabajo de edición.

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